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jeudi 31 mars 2011

Le président de la RFBB Bosch et l'exemple allemand


Bosch et l'exemple allemand

Publié le jeudi 31 mars 2011 à 11H00
Signe de l'intérêt suscité de l'autre côté de la frontière, le président de la Royale Fédération Belge de boxe, Willy Bosch (photo ci-dessous avec Cheick Kongo) - déjà présent à Epernay - s'est déplacé à Paris pour la conférence de presse. Il a même tenu à intervenir pour défendre l'image du Noble art : « On parle d'un sport dangereux, avec du sang, mais la boxe fait beaucoup dans la vie sociale. C'est bien qu'une chaîne comme ESPN Classic lui offre un public plus large… ».
La présence à ses côtés du représentant de l'équipier allemand Paffen Sport (Thomas Knieps, l'un des fils du créateur de la marque) l'a également incité à rappeler l'ampleur du phénomène boxe outre-Rhin : « Il faut compter dix millions de téléspectateurs en direct et 18 000 dans les salles ».

Niente accordo per Frenkel vs S. Branco. A giorni l’asta Ebu

Niente accordo per Frenkel vs S. Branco. A giorni l’asta Ebu

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Per organizzare l’europeo dei cruiser  sfida tra Saueland e Opi2000



Oggi sono scaduti i termini  dettati dall’Ebu per le trattative private relative al Campionato Europeo dei pesi massimi leggeri. Per l’organizzazione della sfida  tra il campione Alexander Frankel  e lo sfidante Silvio BRANCO quindi si andrà all’sta che sarà indetta entro pochi giorni.Il manager Sauerland è intenzionato fermamente a far combattere  Frenkel a Bayern dove abita   ma la Opi2000  è decisa a portare in Italia la sfida. Silvio Branco poco tempo fa ci dichiarava che sarebbe felice di combattere in Italia ma disponibile anche a intraprendere il viaggio in Germania in presenza di una borsa interessante.Frenkel ha 26 anni, imbattuto dopo  23 combattimenti di cui 18 conclusi prima del limite.

Nel video vediamo gli highlights della ultima vittoria per ko di Frenkel su Enzo Maccarinelli 








 

British Scene: John Murray vs. Karim El Ouazghari Preview




British Scene: John Murray vs. Karim El Ouazghari Preview

It’s often said that a change is as good as a rest, John Murray returns to the ring this Saturday having had both. Murray returns from a six month hiatus to take on Karim El Ouazghari at the York Hall in his first fight under Frank Warren.
Murray had become disillusioned with Hennessy Promotions’ lack of progress in terms of moving him towards a world title fight and finally decided to sever his ties and move to Warren earlier this year. A move which he hopes will not only provide him with a world title but also bigger fights and more exposure to the general public.
I think it’s fair to say Murray’s search for a big name opponent hasn’t gone the way he wanted it to thus far. A much mooted bout with Kevin Mitchell fell by the wayside after Mitchell failed to agree terms, leaving Murray to face the distinctly average Karim El Ouazghari.
The Spaniard is rated 20th by the EBU in a division that hasn’t got a great deal of strength in depth at European level. His 14-1-2 (4 KO’s) record has been achieved via fighting low level opposition. His only test came against Daniel Rasilla, whom British fans will remember for his bout with Paul McCloskey; El Ouazghari scored a flash knockdown in the third but was hammered to submission in the fourth – not a great sign for a competitive fight for Murray.
Star-divide
At 26, Murray should be reaching his peak years; he’s conquered the domestic scene, gained experience of fighting abroad and has tightened the leaky defence that was a trait of his early career. In other words, he’s as ready as he’ll ever be for a step-up to world level. He can still improve but I don’t believe he can do that fighting boxers of El Ouazghari’s class; he needs stern tests as soon as possible.
The Barcelona based El Ouazghari prefers to box on the front foot but I’ve got a feeling he may look for a different approach against the bull-like Murray. Despite his low knockout ratio, El Ouazghari does carry reasonable power, especially with the left hook, as was seen in his fight against Jesus Garcia Simon.
The most dangerous aspect of this fight for Murray will be complacency. He should win the fight easily; he’s more experienced as well as being the stronger and more skilful boxer. If he’s on top form, Murray should take care of El Ouazghari inside four rounds, even if Murray isn’t firing on all cylinders, I’d still be surprised to see the fight go the full twelve rounds such is the disparity in quality between the two combatants.

mardi 29 mars 2011

Hopkins-Pascal: ça brasse déjà!

Hopkins-Pascal: ça brasse déjà!PDFImprimerEnvoyer
Sports - Boxe
Écrit par RueFrontenac.com   


Cette conférence de presse tenue conjointement par le groupe GYM et la firme californienne Golden Boy Promotions lundi au restaurant 9-4-10 du Centre Bell, dans le but de faire la promotion du prestigieux gala de boxe HBO que les deux organisations présenteront le 21 mai au Centre Bell, a débuté dans le civisme et le calme... et s’est terminé dans le tumulte et le vaudeville.
Les deux figures dominantes de l’événement, le Lavallois Jean Pascal (26-1-1) et l’Américain Bernard Hopkins (51-5-2), ont fini par s’engueuler sans retenue, ce qui a viré en une bousculade et en un échange de taloches. Yvon Michel, le patron du groupe GYM, Bernard Barré, le recruteur du groupe GYM, Marc Ramsay, l’entraîneur de Pascal, et Richard Schaefer, le président du groupe Golden Boy Promotions, ont dû sortir leurs bras pour séparer les antagonistes, qui n’arrivaient plus à se contenir.
On se serait cru durant un instant à une conférence de presse de la WWF !
  
Hopkins, qui n’a pas son égal pour provoquer ses rivaux, avait allumé la mèche en déclarant : « Pascal, j’ai un petit secret à te confier. Mon promoteur, Golden Boy Promotions, détenait les droits d’organisation de notre match revanche et voulait le présenter au Staples Center à Los Angeles, sinon chez moi à Philadelphie. J’ai dit non. Je voulais absolument t’affronter dans ta cour, ici, Pascal, pour avoir le plaisir de te botter le derrière devant tes partisans. Rien, absolument rien ne pourra m’empêcher de gagner le 21 mai. Je suis une légende vivante. Toi, tu es dangereux pour quatre rounds, moi, je le suis pour 12 ! Je suis un disciple des Broads Streets Bullies de Philadelphie (les Flyers des années 1970), alors, ça regarde bien mal pour toi... »
Pascal s’est alors levé, a saisi le micro et s’est adressé directement à Hopkins.
« Hopkins, tu te souviens, tu avais volé ma ceinture du WBC lors de la conférence de presse tenue à l’hôtel de ville de Québec au mois de décembre, a déclaré le boxeur québécois. Je n’aurais pas dû me surprendre de ton geste. Tu volais constamment lorsque tu étais jeune. Ce n’est pas pour rien que tu as fait de la prison à Philadelphie. Eh bien, je ne te donnerai pas la chance de commettre un vol ici. Tiens, je te remets en main ma ceinture du WBC et celle du championnat mondial du Ring Magazine. Tu peux en faire ce que tu veux au cours des semaines à venir. Tout ce que je désire, c’est que tu les rapportes à Montréal pour le 21 mai. Oui, tu devras les ramener ici, puisqu’au moment où je serai proclamé vainqueur de l’affrontement, ces deux ceintures seront placées autour de ma taille... »
Hopkins riait... mais il n’a pas tardé à rager. Pascal l’a fait sortir de ses gonds en déclarant : « Bernard, beaucoup d’amateurs de boxe québécois se posent de sérieuses questions à ton sujet. Ils se demandent comment un boxeur de 46 ans peut se montrer aussi énergique dans un combat de boxe. Ils sont convaincus que tu prends des stéroïdes. Moi, je ne doute pas de toi, mais pour chasser ces rumeurs, j’exige que tu passes un test antidopage. » Hopkins a répliqué: «Si la commission athlétique du Québec (la Régie québécoise des sports de combat) exige que je me soumette à un test anti-dopage, je le ferai sans hésitation.»
Prise 2 mardi à New York...
Comme Pascal répétait constamment en criant : « Un test antidopage pour Hopkins.... un test antidopage pour Hopkins... un test antidopage pour Hopkins », le boxeur américain a dit à Schaefer : « Richard, j’en ai assez de cette mascarade. Je veux m’en aller immédiatement à l’aéroport. »
Hopkins s’est levé pour quitter le restaurant et Pascal s’est approché de lui avec le micro. Frustré, Hopkins a bousculé Pascal, ce qui entraîné un échange de taloches... jusqu’à ce que les entraîneurs et les promoteurs s’interposent pour les séparer.
Et dire que Pascal et Hopkins seront encore assis côte à côte à New York mardi midi...
Lorsque les dirigeants de HBO financent un combat de boxe, ils exigent toujours une conférence de presse dans le « Big Apple ».
Soulignons qu’Yvon Michel prévoit enregistrer une assistance de plus de 20 000 spectateurs le 21 mai.
« Ce sera un gala de boxe historique, dit-il. Un combat de championnat mondial entre Pascal et Hopkins combiné à un match éliminatoire au championnat du monde du WBC entre Adrian Diaconu et Chad Dawson nous assurent d’un événement d’une envergure jamais vue dans l’histoire de la boxe québécoise. Je suis convaincu que nous allons attirer une assistance record pour un gala de boxe au Centre Bell. »
Rappelons que Pascal et Hopkins avaient fait match nul le 18 décembre au Colisée Pepsi à Québec. Les deux boxeurs prétendaient mériter la victoire, ce qui avait motivé la décision du comité de championnat du WBC de décréter la tenue d’un match revanche, au mois de janvier.
Au mois de février, Golden Boy Promotions, qui est la propriété de l’ancien boxeur étoile Oscar De La Hoya, avait acquis les droits d’organisation de ce match revanche, en remportant un appel d’offres. Golden Boy Promotions avait déposé une soumission de 1,911 million de dollars, comparativement à 1,752 million pour GYM. Cependant, Golden Boy Promotions a proposé à GYM d’organiser conjointement l’événement au Centre Bell.
Ça promet !

lundi 28 mars 2011

Asloum: "Un bilan assez positif"


Asloum: "Un bilan assez positif"

Le Paris United, qui a terminé premier de la conférence européenne des World Series of Boxing (WSB), s'attaquera en demi-finales aux Baku Fires (les 8 et 15 avril prochains). C'est donc le moment de faire le point avec Brahim Asloum, le patron de la franchise parisienne, pour qui le bilan est d'ores et déjà satisfaisant. Même si ce n'est pas facile tous les jours.
Brahim Asloum lors des finales des championnats de France amateurs à Saint-Quentin, le 12 mars dernier. (Maxppp)Brahim Asloum lors des finales des championnats de France amateurs à Saint-Quentin, le 12 mars dernier. (Maxppp)
Brahim, quel regard portez-vous sur Bakou (Azerbaïdjan) ?
C'est une équipe qui est sortie première de la conférence asiatique, donc ils sont champions d'Asie comme on est champion d'Europe, qui est quand même assez homogène, ils ont un peu de tout, le niveau est assez relevé. Mais dans certaines catégories, on peut vraiment sortir notre épingle du jeu. C'est vrai qu'on a plusieurs blessures, donc on sera peut-être un petit peu handicapé, en 60 kilos par exemple où deux de nos boxeurs sont blessés. Espérons qu'ils se rétablissent, que les ouvertures soient bien cicatrisées, car ce n'est pas gagné d'avance, c'est du 50-50, ce seront des oppositions de style. À nos boxeurs de s'adapter au style asiatique, en espérant que les autres aient plus de mal. C'est l'une des plus grosses équipes, donc on va voir.

Quelle équipe vouliez-vous défier alors ?
C'était plus intéressant de prendre Astana par exemple, mais elles se valent en réalité. Los Angeles, on connaît la culture américaine, ce sont des boxes très basées sur du show, cela perturbe énormément, donc c'est mieux de les rencontrer en finale. Cela va se jouer aussi au physique, à l'état de forme des athlètes dans le sens où le championnat a été un peu long. On a manqué de réservoir, alors espérons qu'on récupère de la fraîcheur.

Du coup, allez-vous recruter à l'intersaison ?
On sera même obligé. Au mois de juin, il y a une draft, comme en NBA, avec les 200 meilleurs boxeurs du monde. Les douze franchises prennent les boxeurs qui seraient susceptibles de renforcer leur équipe, en fonction des styles dont elles ont besoin. On va se pencher un peu dessus après les play-offs. Et à travers les championnats de France, il y a un ou deux boxeurs qui m'ont plu, qui sont sortis du lot. Par contre, ce sont deux boxeurs qui sont dans des catégories où on est déjà pas mal, donc le but c'est d'en trouver dans des catégories où on est un peu plus faible, où on a besoin de se renforcer.

Quel bilan faites-vous de la première phase des WSB ?
C'est assez positif parce que l'objectif de début de saison était une qualification en play-offs et avoir un ou deux boxeurs qualifiés aux Jeux Olympiques. Là, on en a deux en individuel qui peuvent se qualifier: Ludovic Groguhe et Nordine Oubaali. On rentre dans le contrat d'objectifs du Ministère avec la Fédération pour avoir des athlètes qui défendront les couleurs de la France aux JO. C'est l'une des pièces maîtresses des World Series of Boxing, c'est la boxe professionnelle qui revient aux Jeux Olympiques sous cette ligue. C'est bien, je suis assez content de l'ensemble des choses. Maintenant, il faut gagner le titre !

Pensiez-vous votre équipe capable de jouer la gagne ?
De gagner les World Series, j'aurais été prétentieux de penser cela. Maintenant, j'ai tendance à y croire. On a un effectif qui est solide, qui a envie, il y a un vrai groupe qui s'est créé, il y a une vraie dynamique et c'est vrai que cette dynamique fait dépasser aussi les frontières, certaines visions que l'on pouvait avoir au départ. Ils savent que c'est dans leurs cordes, à eux de faire la différence.

"Ce n'est pas évident tous les jours"

Quel rôle avez-vous auprès des boxeurs ?
Là, par exemple, je suis sur le trajet de l'INSEP, donc je vais les voir (cet entretien a été réalisé vendredi 25 mars, NDLR). J'ai besoin de leur parler, de faire un point, de préparer la deuxième partie de saison avec les play-offs et les individuels, de les remobiliser, de leur apporter mon expérience, de redynamiser un peu le groupe.

Comment vous comportez-vous avec eux ?
Je suis assez compréhensif, j'étais athlète il n'y a pas si longtemps que cela... J'essaye de me mettre beaucoup à leur place pour qu'ils soient dans les meilleurs dispositions, comme j'ai pu l'être dans ma carrière, pour qu'ils soient à 100% dans leur travail. J'essaye de palier à tout cela.

Aimez-vous ce nouveau métier ?
Même si j'aurais aimé être encore boxeur bien évidemment - j'avais encore quatre-cinq ans devant moi pour pouvoir m'exprimer, il s'avère que les choses se sont arrêtées assez brutalement à cause de mon ancien diffuseur (Canal+, NDLR). Disons que c'est un autre combat, différent, j'apprends beaucoup sur le tas, je prends du plaisir à mettre cela en place. Même si ce n'est pas évident tous les jours.

Regrettez-vous de vous être engagé ?
Non, même si j'aurais préféré que les sponsors et les annonceurs se manifestent plus tôt, mais c'est comme cela. Montrons que c'est un championnat viable, intéressant, et les annonceurs viendront par la suite. Aujourd'hui, cela se présente, donc c'est encourageant. Il y a deux-trois bonnes pistes, j'espère qu'ils finaliseront avant les finales des play-offs pour préparer la saison prochaine.

Et financièrement, vous en sortez-vous ?
Je suis en perte. Il faut faire en sorte que l'année prochaine on soit à zéro, et que l'année d'après on commence à avoir un peu de positif. Mais c'est comme dans toutes les structures qui essayent, qui commencent...

ARRAMI CHAMPION DE FRANCE

ARRAMI CHAMPION DE FRANCE
Faisal Ibnel Arrami (13-2, 9 KO) s'est emparé du titre vacant de champion de France des poids lourd-légers en battant Zakaria Azzouzi (12-2-2, 9 KO) par KO à la neuvième reprise hier soir à la La Londe-les-Maures. Arrami a dominé de la tête et des épaules ce combat baptisé " le derby du Var", il a touché d'entrée "Zak" qui ne s'est jamais ensuite remis de ce départ difficile. Au neuvième round une combinaison gauche droite, ponctuée d'un magistral uppercut envoyait le toulonnais Azouzi au tapis pour plus que le compte

dimanche 27 mars 2011

Boxe - Chpt du monde juniors WBC - Stephane Jamoye mis KO par le Mexicain Santa Cruz

Boxe - Chpt du monde juniors WBC - Stephane Jamoye mis KO par le Mexicain Santa Cruz

Belga | 27 Mars 2011 11h21
Notre compatriote Stéphane Jamoye, 21 ans, a connu samedi dans le El Nido de los Halcones de Xalapa, dans la banlieue de Mexico, le premier revers important de sa jeune carrière de boxeur. Le Liégeois a en effet été mis KO au sixième round par le Mexicain Leo Santa Cruz, 22 ans, pour le titre vacant de champion du monde juniors WBC des poids coq (moins de 53,525 kg).
Le Mexicain compte désormais 15 victoires et un nul en 16 combats. Jamoye enregistre sa première défaite par KO et la 3e de sa carrière en 23 combats (20 succès). (MUA)

Boxe - Chpt du monde juniors WBC - Stephane Jamoye mis KO par le Mexicain Santa Cruz

Boxe - Chpt du monde juniors WBC - Stephane Jamoye mis KO par le Mexicain Santa Cruz

Belga | 27 Mars 2011 11h21
Notre compatriote Stéphane Jamoye, 21 ans, a connu samedi dans le El Nido de los Halcones de Xalapa, dans la banlieue de Mexico, le premier revers important de sa jeune carrière de boxeur. Le Liégeois a en effet été mis KO au sixième round par le Mexicain Leo Santa Cruz, 22 ans, pour le titre vacant de champion du monde juniors WBC des poids coq (moins de 53,525 kg).
Le Mexicain compte désormais 15 victoires et un nul en 16 combats. Jamoye enregistre sa première défaite par KO et la 3e de sa carrière en 23 combats (20 succès). (MUA)

samedi 26 mars 2011

Marco Huck vs Ran Nakash

MARCO HUCK:" MON TITRE EST MA FIERTE !"
Le champion WBO des poids lourds-légers Marco Huck (31-1, 23 KO) se prépare pour la sixiéme défense de son titre contre l'israélien Ran Nakash (25-0, 18 KO) le samedi deux avril prochain à Halle, il répond à quelques questions à quelques jours de son prochain combat.
NB:Marco vous vous apprêtez à effectuer votre sixiéme défense de titre, vous avez plutôt de l'expérience pour un jeune champion de vingt six ans... 
Cest vrai et j'aime cela. Je suis devenu champion du monde en Aout 2009, maintenant j'en suis à défendre ma ceinture pour la sixiéme fois, c'est une belle évolution qui me rend fier de moi.
NB:Vous allez rencontrer l'invaincu Ran Nakash, si vous aviez eu le choix de décider, l'auriez vous choisi ou plutôt quelqu'un d'autre? 
Je devais rencontrer Giacobbe Fragomeni mais il s'est blessé. C'est une situation délicate mais en tant que professionnel, vous devez être en mesure de composer avec ce genre d'imprévu. ce n'est pas une situation nouvelle pour moi, j'y avais déjà été confronté avant mon combat contre Frantisek Kasanic, ce n'avait pas été une promenade de santé, je m'étais cassé le poignet malgré la victoire. Nakash est bien entrainé et il est invaincu, Je ne sous estime pas ce genre de boxeurs qui sont motivés et n'attendent que cet instant pour saisir leur chance. Pour quitter le ring victorieux, il faudra briser sa volonté.
NB:Ce sera votre trente deuxiéme combat, est-il parfois dificile de trouver de la motivation? 
Je suis toujours trés motivé pour me prouver que c'est moi le champion du monde. Je suis toujours habité par une énorme confiance en moi mais je me souviens aussi du temps où j'étais challenger, j' avais tout tenté pour prendre ma chance, je suis donc sur qu'il en est de même pour Nakash, c'est pourquoi je ne dois rien négliger pour le battre.
NB:Qu'est ce qui vous attire dans la boxe? Est-ce l'argent? 
L'argent est important, chaque victoire supplémentaire augmente ma valeur. Mais ce qui importe le plus pour moi c'est ma ceinture, l'argent ne peut acheter la sensation que procure le fait de détenir dans ses mains la ceinture d'un titre mondial. Ce titre mondial me fait connaitre dans le monde entier, c'est fantastique! Je suis encore ambitieux, j'ai d'autres buts à atteindre et je suis motivé pour accomplir encore plein de choses dans la boxe.
NB:Vous êtes devenu champion WBO à Halle en 2009, êtes vous impatient d'y revenir ? 
Certainement; je n'ai que des bons souvenirs du Stade Gerry Weber, ce fut le plus grand moment de ma carriére sportive quand j'ai battu Ramirez et que l'arbitre a levé ma main. L'atmosphére dans le stade est fantastique, ce sera encore une grande soirée de boxe le deux avril !