L’ARBAF MONTE SUR LE RING
Avant hier (2 juin 2010), en présence de Jean-Claude Bouttier, son président d'honneur, l'ARBAF (Alliance pour le Renouveau de la Boxe Anglaise en France) a exposé les grandes lignes de son action.
Jean-Claude Bouttier a indiqué en préambule que l'ARBAF avait vocation à "constater, réfléchir et proposer". « Notre discipline ne va pas bien. On sait que tout ne sera pas résolu du jour au lendemain, mais on peut améliorer les choses."
Au cours de cette conférence-débat, entre les représentants de l'ARBAF, ceux de la presse et ceux du monde de la boxe, il a été notamment question de la reconversion des anciens champions, des petits clubs qui ne peuvent faire face aux exigences financières de leur fédération, de la formation et du recyclage des entraîneurs, d'une obligatoire relance de la boxe éducative, amateur et professionnelle, etc…
Autant de dossiers qui ne sont actuellement pas, selon l'ARBAF, suffisamment bien gérés par la fédération française, laquelle n'était pas représentée par ses élus malgré l'invitation lancée par les organisateurs de cette conférence.
Azdine Ben Yacoub, président de l'association, a justifié les volontés de quelques-uns des amoureux de la boxe de se réunir : « Nous avions mal au moral de voir notre sport en train de crever. Les petits clubs, les entraîneurs bénévoles, les boxeurs, en ont marre. Nous avons envie que nos dirigeants nous écoutent. Nous sommes en manque d'affection ..."
Le message a certainement été entendu par les représentants du ministère de la Ville, du ministère de la Jeunesse et des Sports, par Madame Michèle Tabarot, Député Maire du Cannet, Présidente de la commission des sports à l'Assemblée Nationale, et par tous ceux qui croient que le Noble Art peut encore avoir son mot à dire sur le ring international.
L’ARBAF veut être une force de propositions, d’idées et d’échanges. La parole est à tous.
Le but commun est le même : faire renaître la boxe en France.
Jean-Claude Bouttier a indiqué en préambule que l'ARBAF avait vocation à "constater, réfléchir et proposer". « Notre discipline ne va pas bien. On sait que tout ne sera pas résolu du jour au lendemain, mais on peut améliorer les choses."
Au cours de cette conférence-débat, entre les représentants de l'ARBAF, ceux de la presse et ceux du monde de la boxe, il a été notamment question de la reconversion des anciens champions, des petits clubs qui ne peuvent faire face aux exigences financières de leur fédération, de la formation et du recyclage des entraîneurs, d'une obligatoire relance de la boxe éducative, amateur et professionnelle, etc…
Autant de dossiers qui ne sont actuellement pas, selon l'ARBAF, suffisamment bien gérés par la fédération française, laquelle n'était pas représentée par ses élus malgré l'invitation lancée par les organisateurs de cette conférence.
Azdine Ben Yacoub, président de l'association, a justifié les volontés de quelques-uns des amoureux de la boxe de se réunir : « Nous avions mal au moral de voir notre sport en train de crever. Les petits clubs, les entraîneurs bénévoles, les boxeurs, en ont marre. Nous avons envie que nos dirigeants nous écoutent. Nous sommes en manque d'affection ..."
Le message a certainement été entendu par les représentants du ministère de la Ville, du ministère de la Jeunesse et des Sports, par Madame Michèle Tabarot, Député Maire du Cannet, Présidente de la commission des sports à l'Assemblée Nationale, et par tous ceux qui croient que le Noble Art peut encore avoir son mot à dire sur le ring international.
L’ARBAF veut être une force de propositions, d’idées et d’échanges. La parole est à tous.
Le but commun est le même : faire renaître la boxe en France.
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire