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mardi 14 mai 2013

James DeGale aimerait affronter Pascal



L'Anglais James DeGale ne passe pas par quatre chemins. En raison de la blessure subie par Lucian Bute, il sait que Jean Pascal se cherche un rival et il souhaiterait bien être l'heureux élu.
«Tout ce dont j'ai besoin, c'est d'un coup de fil. Je n'attends qu'un appel du clan de Jean Pascal», a-t-il confié en exclusivité à l'Agence QMI, mardi.
«Je suis prêt à relever le défi, a continué le boxeur appartenant au groupe Hennessy Sports. J'aimerais vraiment l'affronter, ça ferait un super combat!»
Avant de penser à l'ancien champion du monde linéaire des poids mi-lourds (175 lb), DeGale (14-1, 9 K.-O.) devra toutefois se mesurer à un autre pugiliste québécois, vendredi à Gatineau, en demi-finale d'un gala de la série «Fight Club» de la firme Eye of the Tiger Management.
Pour l'occasion, le médaillé d'or chez les poids moyens (165 lb) aux Jeux olympiques de Pékin fera face à l'ancien aspirant mondial Sébastien Demers (31-5, 11 K.-O.), de Saint-Hyacinthe.
«Je devais d'abord affronter le Colombien Alexander Brand en mars, mais c'est tombé à l'eau. Je suis au gymnase depuis le début de l'année, je suis prêt à faire 15 rounds!», a-t-il expliqué.
«Pour ce qui est de Sébastien Demers, je devais monter dans le ring contre quelqu'un d'autre, mais Demers a pris sa place, a-t-il ajouté. Il est dans le décor depuis longtemps et il a de bons noms sur son résumé, mais quand il est monté de niveau, il a perdu. Et je suis d'un très fort niveau. Je vais l'analyser sur le ring, mais comme le duel n'est que de huit rounds, ça risque de bouger vite.»

Chunky

Il s'agit d'une première présence en territoire canadien pour l'espoir que les Britanniques surnomment «Chunky».
«J'ai voyagé un peu partout dans ma carrière amateur, mais je n'avais jamais mis les pieds au Canada, a-t-il dit. Je suis à Gatineau depuis samedi, c'est bien ici!»
Et d'où vient ce sobriquet pour le moins particulier?

«Ça veut dire grassouillet! C'est mon premier entraîneur qui m'a surnommé comme ça et c'est resté depuis. Tout le monde m'appelle comme ça en Angleterre», a-t-il raconté, amusé par l'anecdote.

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