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mercredi 19 février 2014

ADONIS STEVENSON ASSURE SON AVENIR EN S'ASSOCIANT A UN GRAND NOM

Adonis Stevenson vient d’assurer son avenir, rien de moins!
Le boxeur de l’année 2013 a paraphé un contrat avec le gérant le plus influent des États-Unis, Al Haymon, selon ce qu’a appris Nancy Audet.  Stevenson, qui gérait jusqu’ici sa propre carrière, peut maintenant se targuer d’avoir le même négociateur que Floyd Mayweather Jr.
La carrière d'Adonis Stevenson est en pleine ascension depuis qu'il est champion du monde et mardi, il s'est assuré qu'elle soit profitable.
«J’avais trop de paperasse à remplir et je voulais être payé à la hauteur de ce que j’ai accompli. J’ai été nommé boxeur de l’année, j’ai eu le titre du plus beau K.-O. de l’année, a expliqué Stevenson.  Avec un gérant comme Al Haymon, je n’aurai pas à me soucier de mon salaire,» a-t-il continué.
Mayweather, Danny Garcia, Adrien Broner, Paul Malignaggi… des superstars, Al Haymon en gère plus d’une dizaine. Mais l’arrivée de Stevenson risque de lui être très bénéfique.
«Il y a évidemment Mayweather, mais après ça c’est moi sa priorité,» a affirmé le Québécois.
Si tel est le cas, Stevenson (23-1-0, 20 K.-O.) s’assure une retraite dorée. Haymon, surnommé «le fantôme» en raison de sa discrétion légendaire, entretient d’excellentes relations avec les réseaux de télévision américains.
Son boxeur le plus grassement récompensé, Mayweather, a été nommé l’athlète le mieux payé au monde en 2012 par le magazine Forbes, grâce à un coquet salaire annuel de 85 millions de dollars.
Changement de cap?
Bien que sa carrière soit désormais entre les mains d’un gérant américain, le Groupe Yvon Michel demeure le promoteur de Stevenson et Montréal reste son patelin. À salaire égal, il n’hésiterait pas une seconde entre Las Vegas et la métropole québécoise.
«Je vais être l’un des premiers à unifier les titres et je veux donner ce combat-là à mes partisans! La seule chose qui va changer, c’est que je vais être payé ce que je vaux.»
Le boxeur de 36 ans a d’ailleurs réitéré son désir d’en découdre avec l’autre grosse pointure chez les mi-lourds, Sergey Kovalev.
«Je veux me battre avec Kovalev mais je ne vais pas boxer avec lui pour 1 million de dollars, a expliqué le champion WBC. Un combat de cette envergure-là, ça vaut pas mal plus que ça!»

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