Malgré une période de crise profonde, l'Italie dispose de quatre champions européens. Mais tout cela se passe au milieu du désert ...
Avec tout ce qui se passe à dans boxe italienne, voir qui est le détenteur de quatre titres européens ( Di Rocco , sur la photo ,Marsili , Bundu et Boschiero ) est miraculeux. Tout cela se passe malgré que les quelques organisateurs restants sont forcés de se déplacer avec une grande difficulté économique et à la télévision, en dépit de la baisse bien connue de l'intérêt des médias et d'une fédération de plus en plus embourbé dans le grand et mystérieux désordre AIBA Professional Boxing. Un désordre qui pourrait rapidement saper les fondements de l'ensemble du mouvement pugilistique italien, déjà chancelant. La crainte est que ce moment de son «bien-être» est la raison d'une séquence d'événements aléatoires plutôt que d'un travail de planification minutieuse.
Aussi parce qu'il est difficile à programmer. Le Boxeur qui a franchi une étape importante, comme le titre européen, à juste titre demandent de plus en plus. Mais il est vraiment difficile de le lui donner, surtout en ces temps.
Malgré les considérations pessimistes, il est juste que cette période heureuse résulte de l'art magnifique de faire des sociétés organisatrices, forcées de joindre les deux bouts sans pouvoir compter sur un grand nombre de ressources.
On est désolé de constater, cependant, que tout cela se passe au milieu d'un désert médiatique. Et Que se serait il passé si la boxe italienne avait eu pour elle une situation d'intérêt du téléspectateur similaire à celui qui existe en Allemagne, en Angleterre ou même au Danemark, où les organisateurs locaux peuvent compter sur les revenus de droits de télévision que nous ne sommes même pas imaginable.
Malheureusement, en Italie, où ceux qui vivent dans ce sport est depuis de nombreuses années doivent naviguer à contre courant, contre vents et marées
Boxeringweb
Désert médiatique aussi en Belgique malgré nos champions. A l'exception des tv locales, pas de retransmissions à la TV. Même au niveau journalistique, auparavant Milou Blavier de la DH et M Doms du Soir étaient au bord du ring à chaque gala et faisaient des papiers sur les combats. Aujourd'hui nous avons droit à un bref entrefilet d'agence. Heureusement il y a Internet, des sites, des blogs, Facebook. Mais cela n'attire pas le sponsor et les organisateurs sont toujours en manque de ressources pour organiser des galas de haut niveau. Il faut absolument une visibilité TV pour qu'un sponsor mette une somme conséquente en espérant un retour de son investissement. Ce n'est pas le cas actuellement.
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