Raymundo Beltran a semblé gagner la plupart des rounds ce samedi, et il a laissé tomber Ricky Burns dans le huitième.
Raymundo Beltran a eu une carrière difficile. Personne ne lui a fait aucune faveur. Il a gagné tout ce qu'il a accompli. Cela aurait dû inclure un titre mondial des poids légers, samedi, mais il en a à revendre et volé dans une décision terrible.
Au lieu de lever une ceinture durement gagné au-dessus de sa tête sur ce qui devait être le plus beau jour de sa vie professionnelle, Beltran a été volé par un match nul contre Ricky Burns, qui doit se mettre à genoux au milieu du ring et embrasser le tapis pour montrer ses remerciements pour recevoir la quintessence d'un don de sa ville natale.
Beltran a toujours été l' «adversaire». Il a souvent voyagé à la ville natale de son adversaire, comme il l'a fait pour la lutte avec Burns, à Glasgow, en Ecosse, où Burns est l'étoile et censé gagner sur.Beltran, né au Mexique et vivant à Los Angeles, avait fait plus qu'un nom pour lui-même en servant de sparring-partner pour Manny Pacquiao que comme la prétendante léger, il est devenu au cours des 16 derniers mois.
Mais cela ne devrait avoir changé après avoir tourné dans la plus belle performance de sa carrière
Il a battu Burns. Clairement, il disloque la mâchoire de Burns au second tour. Lui a chuté proprement dans la huitième et dominé la plupart de l'action. Et puis les juges ont frappé. juge André Van Grootenbruel de Belgique avait 115-113 pour Beltran, une carte solide dans ce que je croyais être un combat très facile de marquer. Je l'avais 115-112 pour Beltran, avec presque aucun rounds discutables. Et puis vint les cartes impardonnables de la Colombie juge Richie Davis, qui avait fait un match nul 114-114, et juge américain Carlos Ortiz Jr., dont la carte de 115-112 pour Burns a défié la logique. C'était une carte de fantaisie. Tout simplement ridicule.
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